Voici quelques conseils et astuces qui vous permettront de tirer le meilleur parti de l'Éditeur d'équations. Sauf indication contraire, ces conseils s'appliquent à toutes les versions de l'Éditeur d'équations exécutées sur une plate-forme Windows ou Macintosh.
Dans la plupart des cas, nous supposons que vous utilisez l'Éditeur d'équations avec une version de Microsoft Word. Si tel n'est pas le cas, ces conseils vous seront quand même utiles, à condition d'adapter les procédures décrites au logiciel de traitement de texte utilisé.
Ce conseil peut sembler évident. Pourtant, bien souvent, notre Support technique doit répondre à des questions sur l'Éditeur d'équations déjà traitées dans le fichier d'aide en ligne. Nous vous recommandons donc de prendre le temps de parcourir ce fichier : vous y trouverez sûrement des informations intéressantes. Pour afficher l'aide en ligne, sélectionnez Aide de l'Equation Editor dans le menu d'aide de l'Éditeur d'équations.
Voici quelques-uns des raccourcis claviers les plus fréquemment utilisés dans l'Éditeur d'équations. Cette liste n'est pas exhaustive et varie en fonction des notations mathématiques que vous écrivez. Pour connaître les autres raccourcis disponibles, consultez le fichier d'aide de l'Éditeur d'équations.
Commande | Windows | Macintosh |
Zoom à 400 % | Ctrl+4 | Cmd+4 |
Insertion de lettres grecques | Ctrl+G, suivi d'une lettre tapée au clavier | Cmd+G, suivi d'une lettre tapée au clavier |
Fraction | Ctrl+F | Cmd+F |
Exposant | Ctrl+H | Cmd+H |
Indice | Ctrl+L | Cmd+L |
Racine carrée | Ctrl+R | Cmd+R |
Intégrale | Ctrl+I | Cmd+I |
Espace fin (par exemple devant " dx " dans une intégrale) | Ctrl+Espace | Cmd+Espace |
Ajout de texte standard | Ctrl+Maj+E | Cmd+Maj+E |
Retour aux notations mathématiques après ajout de texte | Ctrl+? | Cmd+? |
Dans la version MathType 4.0 pour Windows, l'utilisation des raccourcis est optimisée. Il est ainsi possible de personnaliser et de créer ses propres raccourcis avec une ou deux séquences de touches. Pour plus d'informations sur MathType, cliquez ici.
Certains utilisateurs de l'Éditeur d'équations préfèrent utiliser une fenêtre séparée pour créer ou modifier une équation, au lieu de réaliser ces opérations dans la fenêtre de l'application. Cette méthode présente plusieurs avantages, à savoir :
Pour modifier l'installation de l'Éditeur d'équations et ouvrir des fenêtres d'équations séparées, procédez comme suit :
Enregistrez sur votre disque dur le fichier force_open.reg, dont le lien figure ci-dessous. Ce fichier étant tout petit, vous pouvez l'enregistrer n'importe où. Pour ce faire, cliquez avec le bouton droit sur le lien et sélectionnez Enregistrer la cible sous. Exécutez ensuite le fichier téléchargé, via l'Explorateur de Windows ou à l'aide de la commande Exécuter du menu Démarrer. Le programme RegEdit de Windows lit alors le fichier et modifie en conséquence le registre. Pour modifier à nouveau les équations dans la fenêtre de l'application, répétez la procédure précédente avec le fichier in_place.reg.
Remarque : Microsoft Word 98 ne prend plus en charge l'édition dans la fenêtre de l'application. De ce fait, il est inutile d'essayer de modifier les équations dans cette fenêtre si vous utilisez l'Éditeur d'équations avec Word 98. L'opération échouera.
Exécutez le programme SimpleText, puis ouvrez le fichier "Equation Editor Preferences" situé dans le dossier Préférences du Dossier Système. Ce fichier étant divisé en sections, recherchez la section intitulée [General]. Recherchez la ligne qui définit la variable ForceOpen. Si elle n'existe pas, insérez une ligne juste après l'intitulé [General], semblable à la ligne suivante :
ForceOpen = 1
Si elle existe déjà, remplacez le chiffre qui suit le signe égal par la valeur 1. Quittez le programme SimpleText et, lorsque vous y êtes invité, enregistrez les modifications apportées au fichier. L'Éditeur d'équations doit à présent s'ouvrir dans une fenêtre séparée.
Pour modifier à nouveau les équations dans la fenêtre de l'application, rouvrez le fichier et remplacez la valeur 1 par une valeur nulle.
Ce conseil concerne une grande partie des questions posées à notre Support technique. Les équations en exergue sont des équations présentées dans un paragraphe indépendant, par opposition aux équations " en ligne " ou " de texte " qui sont placées comme du texte standard, sur la même ligne. Il existe plusieurs méthodes pour formater ce type d'équation. Toutefois, la plus facile consiste à centrer l'équation par rapport aux marges et à insérer à droite de l'équation, contre la marge, un numéro. Cette opération est facile à exécuter sur la plupart, pour ne pas dire sur tous les traitements de texte. Elle consiste à placer une tabulation de centrage, elle-même centrée entre les marges de gauche et de droite, ainsi qu'une tabulation de justification à droite, positionnée juste sur la marge de droite. Ainsi, pour chaque équation, vous devez créer un paragraphe contenant les éléments suivants, situés de gauche à droite : une tabulation, l'équation, une autre tabulation et le numéro de l'équation.
L'illustration suivante montre le résultat obtenu sous Microsoft Word (les marques de tabulation apparaissent entourées en rouge) :
Une fois que vous maîtriserez cette technique, vous pourrez l'améliorer en créant un style de paragraphe qui contiendra la configuration des tabulations. Il vous suffira alors d'appliquer ce style à vos équations en exergue.
Dans la version 4.0 de MathType, un bouton a été ajouté dans la barre d'outils afin d'automatiser l'ensemble de cette opération. Dans l'illustration précédente, ce bouton est le troisième de la barre d'outils, en partant de la gauche. Pour plus d'informations sur MathType, cliquez ici.
Cela dit, rien ne vous empêche de faire la même chose sans utiliser MathType, même si cela risque d'être plus fastidieux. Pour en savoir plus, lisez le conseil suivant.
La méthode de numérotation des équations la plus évidente consiste bien sûr à indiquer les numéros en regard des équations et à les mettre à jour manuellement, chaque fois qu'une équation est insérée ou supprimée. Si votre document ne comporte que quelques équations, cela ne devrait pas poser de problèmes. En revanche, si vous travaillez sur des documents plus volumineux, incorporant une multitude d'équations, cela risque d'être un travail à la fois long et fastidieux. Nous allons vous expliquer ici comment utiliser certaines des fonctionnalités les plus puissantes des traitements de texte actuels pour automatiser le processus de renumérotation. Même si cette procédure ne fait référence qu'à Microsoft Word, de nombreux autres traitements de texte proposent des fonctionnalités similaires. Pour plus d'informations, consultez l'aide en ligne ou le manuel de l'utilisateur du logiciel utilisé et recherchez dans l'index une entrée intitulée " numérotation ".
Pour insérer, sous Microsoft Word, un numéro d'équation séquentiel automatique, procédez comme suit :
A présent, supposons que vous ayez inséré plusieurs champs dans votre document. Vous avez désormais des équations numérotées de manière séquentielle. Supposons que vous décidiez d'insérer ensuite d'autres équations numérotées, en plein milieu de votre document. L'ordre des numéros d'équation est alors incorrect. Pour mettre à jour la séquence des numéros, sélectionnez tout le document et appuyez sur F9. Et voilà, tous les numéros apparaissent à nouveau dans le bon ordre. C'est magique ! Notez également que Word propose une fonctionnalité très pratique qui permet de mettre à jour la séquence des numéros d'équation chaque fois que vous imprimez le document.
Il est possible d'accélérer la procédure impliquant chaque fois la commande d'insertion de champ. Vous pouvez, par exemple :
Dans le cas de documents plus complexes, les numéros d'équation doivent parfois être indiqués sous la forme <numéro de section>.<numéro d'équation>. Pour ce faire, utilisez deux variables de séquence, l'une pour le numéro d'équation, l'autre pour le numéro de section. Toutefois, vous devrez approfondir l'utilisation des codes de champ sous Word pour utiliser cette technique. Vous devrez, en particulier, apprendre à réinitialiser le numéro d'équation en début de chaque section et à utiliser le numéro de section sans qu'il ne soit automatiquement incrémenté. Pour plus d'informations, reportez-vous à la documentation et à l'aide en ligne de Word.
Avec MathType, ce processus est automatisé et vous pouvez même choisir le type de formatage du numéro d'équation. Pour plus d'informations sur MathType, cliquez ici.
Ce conseil n'a aucun rapport avec les mathématiques et les équations. Vous pouvez utiliser la commande de repositionnement de l'Éditeur d'équations pour réduire rapidement et facilement l'espace entre les caractères des titres et des en-têtes d'un document. Cette commande permet ainsi d'améliorer l'apparence des caractères. L'exemple suivant illustre le résultat obtenu en utilisant la commande de repositionnement de l'Éditeur d'équations :
Sans réduction de l'espace entre les caractères : | ![]() |
Avec réduction de l'espace entre les caractères : | ![]() |
Comme vous pouvez le constater, l'aspect des caractères semble beaucoup plus uni dans la deuxième version. Les polices de haute qualité intègrent des informations relatives à la réduction de l'espace entre les caractères, exploitables par certaines applications. Cependant, le plus souvent, vous devrez réduire cet espace manuellement.
Pour ce faire, procédez comme suit :
Cette procédure peut devenir fastidieuse, c'est pourquoi, si vos titres comportent souvent les mêmes mots, nous vous conseillons de les enregistrer dans un traitement de texte. Par le plus grand des hasards, ce sujet fait l'objet du conseil suivant !
Les mathématiques peuvent être parfois très répétitives. Si vous enseignez cette matière, vous finirez probablement par utiliser toujours les mêmes équations. De même, si vous travaillez dans le domaine de la recherche, les équations appliquées seront sans doute différentes, mais vous serez fatalement amené à traiter les mêmes expressions. Inutile alors de taper chaque fois la même expression. Enregistrez plutôt dans un logiciel de traitement de texte les expressions les plus fréquemment utilisées. Même si vous êtes déjà rodé à cette technique, les informations suivantes peuvent vous être utiles.
Les logiciels de traitement de texte modernes permettent de traiter simultanément plusieurs documents. Vous pouvez ainsi laisser ouvert le document en cours de création et celui que vous utilisez comme bibliothèque d'équations et d'expressions. Nous n'allons pas décrire ici la création de documents : les procédures varient d'un traitement de texte à l'autre et il est très probable que vous connaissiez déjà la marche à suivre. Si tel n'est pas le cas, consultez la documentation de votre application.
Voici plutôt quelques astuces qui vous permettront d'optimiser la technique utilisée. Les termes " document bibliothèque " et " document de travail " font respectivement référence au document contenant les expressions et équations le plus souvent utilisées et au document en cours de création.
Remarque : La plupart des astuces suivantes ne fonctionnent que si vous pouvez ouvrir des équations dans des fenêtres séparées. Voir conseil n°3. |
Pour savoir comment enregistrer des équations et des expressions, lisez le conseil suivant qui décrit une autre méthode complémentaire.
Pour enregistrer des équations et des expressions fréquemment utilisées, vous pouvez également exécuter la fonction " glossaire " de votre traitement de texte. Cette fonction peut s'appeler différemment suivant les logiciels de traitement de texte utilisés (sous Microsoft Word, par exemple, elle s'intitule " Insertion automatique "). Elle permet, par exemple, d'associer un mot long, une image, un paragraphe ou un chapitre à un mot facile à taper ou à un acronyme. Par exemple, cette option peut être définie pour que le nom " Design Science " apparaisse automatiquement chaque fois que l'on tape les lettres " DS ".
Avec la plupart des traitements de texte modernes, il est possible d'ajouter une entrée de glossaire qui contient à la fois des équations et du texte. Si tel est le cas de votre logiciel, utilisez cette fonction pour associer, par exemple, " second degré " avec une équation contenant une formule du second degré. Pour plus d'informations, reportez-vous à la documentation de votre traitement de texte.
Bien sûr, vous pouvez également utiliser cette technique conjointement avec un document bibliothèque d'équations (voir conseil précédent). Pour choisir la méthode qui vous convient, prenez connaissance des avantages et des inconvénients répertoriés ci-dessous :
MathType propose des fonctions qui permettent d'enregistrer les expressions, équations et symboles les plus utilisés. Vous pouvez les ajouter dans la barre d'outils, auquel cas vous pourrez insérer directement l'élément dans l'équation, d'un simple clic. Les méthodes décrites dans les deux derniers conseils ne s'appliquent donc pas si vous utilisez MathType. Pour plus d'informations sur MathType, cliquez ici.
Bien que l'Éditeur d'équations soit livré avec des progiciels (généralement Microsoft Word ou Works), il s'agit d'une application distincte, compatible avec bien d'autres applications. Vous pouvez ainsi représenter graphiquement une fonction mathématique à l'aide d'un logiciel de dessin et utiliser l'Éditeur d'équations pour indiquer sur la courbe l'équation correspondante. De plus, vous pouvez ajouter des équations à des enregistrements d'une base de données.
Les fonctionnalités proposées par l'application tierce sont déterminantes pour tirer le meilleur parti de l'Éditeur d'équations. Pour utiliser l'Éditeur d'équations avec une autre application, procédez comme suit :
Pour exécuter l'Éditeur d'équations comme une application séparée, vous devez localiser son emplacement sur votre disque dur. Pour savoir comment procéder, lisez le conseil suivant.
Sous MathType, les équations pouvant être enregistrées comme des fichiers, il est possible de les placer dans des types de document plus variés. En outre, le format EPS (Encapsulated PostScript, poscript encapsulé) permet d'utiliser des applications de PAO professionnelles. Pour créer des pages Web incorporant des notations mathématiques, enregistrez vos équations au format GIF (Graphics Interchange Format, format d'échange graphique). Pour plus d'informations sur MathType, cliquez ici.
Les méthodes d'enregistrement des équations et expressions fréquemment utilisées ont déjà été décrites dans des conseils précédents (voir Conseil n°7 et Conseil n°8). Toutefois, nous vous recommandons également de laisser une fenêtre de l'Éditeur d'équations ouverte pour l'utiliser comme bloc-notes. Pour cela, exécutez l'Éditeur d'équations comme une application séparée. Recherchez d'abord l'emplacement de l'Éditeur d'équations sur votre disque dur et définissez un raccourci. Pour ce faire, procédez comme suit :
Chaque fois que vous commencez à travailler avec des équations, démarrez l'Éditeur d'équations à l'aide du raccourci créé. Une nouvelle fenêtre d'équations indépendante, entièrement vide, apparaît. Vous pouvez l'utiliser comme bloc-notes, pour noter toutes sortes d'équations et d'expressions que vous pourrez ensuite couper et coller dans vos nouvelles équations. Pour insérer de nouvelles équations, procédez de la manière habituelle. Cependant, veillez à laisser la fenêtre de bloc-notes de l'Éditeur d'équations ouverte tant que vous travaillez sur les équations. Si vous fermez cette fenêtre par inadvertance, redémarrez l'Éditeur d'équations à l'aide du raccourci.
L'autre avantage de cette méthode est décrit dans le conseil suivant.
Le menu Fichier de MathType propose une option Nouveau qui permet de créer autant de fenêtre de bloc-notes que vous le souhaitez. Le programme d'installation de MathType crée automatiquement le raccourci nécessaire pour exécuter l'application dans une fenêtre séparée. Pour plus d'informations sur MathType, cliquez ici.
Le précédent conseil décrit comment exécuter l'Éditeur d'équations comme une application séparée. Si nécessaire, n'hésitez pas à vous y reporter. Nous allons traiter ici des avantages de cette méthode qui permet d'accélérer le traitement des équations.
Chaque fois que vous insérez une équation dans votre document ou que vous modifiez une équation existante, l'Éditeur d'équations est automatiquement démarré s'il n'est pas déjà ouvert. Cette tâche, automatiquement réalisée par le traitement de texte utilisé, peut entraîner une certaine attente, qui varie notamment selon la rapidité de votre ordinateur. En revanche, si vous démarrez manuellement l'Éditeur d'équations et que vous le laissez ouvert lorsque vous éditez un document, vous obtiendrez des délais de réponse beaucoup plus courts pour modifier des équations.
La fonction " mode serveur ", proposée par MathType pour Windows, permet d'optimiser cette technique. Ainsi, MathType peut être démarré en mode serveur : il reste alors en mémoire jusqu'à ce qu'il soit fermé manuellement ou automatiquement (au bout d'une certaine période d'inactivité définissable par l'utilisateur). Une option de préférence permet également de démarrer automatiquement le programme en mode serveur à chaque nouvelle session. Pour plus d'informations sur MathType, cliquez ici.
Il vous est peut-être déjà arrivé d'écrire une équation, puis de réaliser qu'elle serait plus lisible en ajoutant des parenthèses, ou bien d'utiliser une équation intégrant un modèle de sommation illimité, puis de décider d'imposer une limite. Ces deux situations peuvent être rapidement traitées, sans devoir retaper l'équation ni recourir aux fonctions Couper/Coller. Tout ce que vous devez faire, c'est délimiter le modèle dans le premier cas et le remplacer dans le second.
Pour effectuer cette première démonstration, nous allons nous inspirer d'un exemple tiré de l'un des didacticiels du manuel de MathType. Prenons une formule statistique courante, par exemple :
Et là, problème ! On aimerait que l'expression 1/n s'applique à toute la fin de l'équation. Pour cela, il faut insérer des parenthèses suffisamment grandes pour ne créer aucune ambiguïté. C'est pourquoi on utilise un modèle de parenthèses. C'est aussi simple que cela ! Il suffit de sélectionner la zone de l'équation à mettre entre parenthèses,
puis d'insérer normalement le modèle délimiteur qui entoure tous les éléments sélectionnés. On obtient alors le résultat suivant :
A présent, un autre problème se pose : il faut limiter la sommation. Pour cela, on va remplacer le modèle. Tout d'abord, on sélectionne le modèle et son contenu :
Puis, tout en maintenant enfoncée la touche Alt (touche Option sous Macintosh), on choisit le modèle de remplacement dans la palette. Ici, nous allons choisir la sommation avec limites inférieure et supérieure. Il ne reste plus qu'à indiquer les limites voulues, et le tour est joué !
Le fait d'encadrer une équation permet de la mettre en évidence et de la différencier des autres données. On peut aussi encadrer le résultat d'une équation, comme illustré ci-dessous :
Pour encadrer une équation, créez une matrice de 1 x 1. Dans la boîte de dialogue Matrice, placez-vous dans le volet d'aperçu et cliquez sur les quatre côtés, à l'extérieur de la matrice. Un trait solide est inséré tout autour de la matrice. Pour insérer des tirets, cliquez deux fois. Pour insérer des pointillés, cliquez trois fois. Cliquez une nouvelle fois pour supprimer une ligne.
Ce conseil ne s'applique pas si vous utilisez MathType 4.0 pour Windows, puisque cette version propose différents modèles d'encadrement. Pour plus d'informations sur MathType, cliquez ici.
Les modèles de matrice de l'Éditeur d'équations peuvent être associés à toutes sortes d'applications. Par exemple, vous pouvez utiliser ce type de modèle pour créer une grille vierge qui servira aux élèves pour représenter graphiquement une fonction, dans le cadre d'un petit test ou d'un jeu :
Pour créer cette grille, insérez une matrice avec le nombre de rangées et de colonnes approprié, puis ajoutez des lignes de séparation entre les éléments. Ces lignes peuvent être matérialisées par des traits solides, des tirets ou des pointillés.
Cette utilisation spécifique des matrices est bien souvent oubliée. Vous pouvez créer une matrice aux dimensions souhaitées, et définir une police incorporant des caractères spéciaux (définis par les polices Zapf Dingbats ou Wingdings, par exemple) pour insérer des symboles. Par exemple :
MathType propose une fonction d'insertion de symbole puissante, qui permet d'explorer facilement les polices installées sur votre système et de repérer rapidement les caractères dont vous avez besoin. Pour plus d'informations sur MathType, cliquez ici.
De nombreux utilisateurs se sont aperçus, en voulant insérer des arcs dans leurs équations, que l'Éditeur d'équations présentait une restriction. En effet, ce type de symbole ne recouvre qu'un seul caractère. Cela est gênant si vous devez décrire les arcs qui sont au programme de géométrie du primaire. Par exemple :
Vous pouvez toutefois essayer de redimensionner l'arc pour obtenir un résultat acceptable. Pour ce faire, procédez comme suit :
Vous devez obtenir le résultat suivant :
MathType inclut des modèles qui permettent de positionner des arcs au-dessus de plusieurs caractères. Pour plus d'informations sur MathType, cliquez ici.
Ce conseil repose également sur l'utilisation matrices. L'objectif est de créer un problème arithmétique simple, du style :
Pour créer ce type d'opération, procédez comme suit :
Sous MathType, il est possible d'enregistrer ce type d'opération dans la barre d'outils. De cette manière, il vous suffit de cliquer sur le bouton approprié de la barre pour insérer l'opération, puis de remplacer les nombres en fonction du problème traité. Pour plus d'informations sur MathType, cliquez ici.
Pour insérer des équations dans l'Éditeur d'équations, la plupart des utilisateurs sélectionnent l'option Objet du menu Insertion. Puis, dans la liste d'objets pouvant être insérés dans le document, il leur faut double-cliquer sur Microsoft Equation 3.0 pour démarrer l'Éditeur d'équations. Eh bien, il y a plus simple ! Il suffit d'ajouter un bouton dans la barre d'outils de Word qui permettra d'insérer une nouvelle équation dans le document et de l'ouvrir, d'un simple clic, dans une nouvelle fenêtre de l'Éditeur.
Pour ajouter une icône de l'Éditeur d'équations dans la barre d'outils de Word, procédez comme suit :
Au fait, cette procédure fonctionne aussi sous PowerPoint.
Le fait de sélectionner l'option Insertion/Objet de Word, fait apparaître une boîte de dialogue contenant une case à cocher intitulée " Flotter sur le texte ". Si cette option est activée lorsque vous créez des équations, ces dernières sont ajoutées comme des éléments de mise en page flottant sur le document, ce qui vous empêche de les positionner exactement à l'endroit voulu. La bonne nouvelle est qu'il est possible de désactiver cette option afin d'insérer les équations dans le flux de texte. La mauvaise nouvelle, en revanche, c'est qu'on ne peut le faire que pour une équation. En effet, si vous rappelez la boîte de dialogue d'insertion d'objet, l'option " Flotter sur le texte " apparaîtra à nouveau cochée !
Voici comment vous pouvez résoudre ce problème :
En fait, ces solutions ne sont pas mutuellement exclusives : vous pouvez, si vous le souhaitez, les appliquer toutes les trois.
Pour créer une macro permettant de remplacer la commande InsertObject de Word :
En quittant Word, vous êtes invité à enregistrer NORMAL.DOT. Cliquez sur Oui pour ne plus être confronté à ce problème. (Merci à Dave Alyott et Bob Buckland qui nous ont communiqué cette astuce.)
Comme précisé dans le conseil n°9, il est possible de créer, en utilisant l'Éditeur d'équations et PowerPoint, des présentations qui intègrent des équations. Voici une autre technique : insérez votre équation dans PowerPoint comme décrit précédemment, cliquez avec le bouton droit sur l'équation et sélectionnez dans le menu contextuel l'option Grouper/Dissocier. Un message d'alerte apparaît. Cliquez sur Oui. Votre équation apparaît alors sous forme de caractères et de modèles individuels, que vous pouvez animer à l'aide de l'option Diaporama/Personnaliser l'animation.
Autre astuce : Suivez la procédure décrite dans le conseil n°18 pour ajouter un bouton d'insertion d'équation dans la barre d'outils de PowerPoint.
La plupart des équations créées apparaissent en noir sur fond blanc. Cependant, sur des diapositives par exemple, le texte apparaît très souvent en couleur sur un fond noir ou foncé. Même si vous ne pouvez pas créer d'équations en couleur à l'aide de l'Éditeur d'équations, vous pouvez modifier leur couleur à votre convenance sous PowerPoint.
Pour afficher une équation en couleur, procédez comme suit :
Si vous travaillez sous MathType 4.0 pour Windows, vous pouvez insérer vos équations dans des présentations PowerPoint à l'aide du bouton ajouté à cet effet dans la barre d'outils de PowerPoint. Vous pouvez également modifier la couleur d'une équation directement sous MathType, ce qui vous permet d'utiliser des équations en couleur dans tous vos documents, même si ce ne sont pas des présentations PowerPoint. Vous pouvez même choisir plusieurs couleurs pour une même équation, afin de concentrer l'attention des élèves sur un morceau d'une équation, comme illustré dans l'exemple suivant :
La zone indiquée en rouge met en évidence le discriminant.
Pour plus d'informations sur MathType, cliquez ici.
Nous espérons qu'au moins l'un des conseils précédents vous aura permis d'optimiser l'utilisation de l'Éditeur d'équations, la version junior de MathType. Toutefois, le programme MathType vous offre une multitude de fonctionnalités supplémentaires pour vous aider à créer vos équations : plus de symboles, plus de modèles, etc. Pour plus d'informations sur MathType, cliquez ici.